mardi 28 novembre 2006

CAMARADES ! CECI EST UN APPEL A LA LIBERATION DES PEUPLES SOUS L'OPRESSION DU PATRONAT !


CAMARADES DE TOUS LES PAYS, UNISSONS NOUS !
(n.b. : L'auteur ne garantie pas la justesse des dates stipulées dans l'article suivant ainsi que la correcte écriture de certains mots. )


Ceci est un appel au rassemblement ! camarades, les meneurs à la tête de l'état nous imposent une hiérarchie qui n'est désormais plus suportable. Il en est assez d'être exploité par une minaurité qui nous IMPOSE ses choix et surtout un labeur qui ne peut plus être supporté.

Le droit de grêve nous as été accordé en 1886. mais nos revendications n'ont été qu'à moitié entendues, et nous continuons à être exploité par le capital, nous, pauvres de la société !

camarades, usons de ce droit et paralysons l'économie française pour nous faire entendre ! affaiblissons les puissants de ce pays ! menaçons les de révolution, et si notre voix ne peut être entendue, mettons nos menaces à exécution et combattons ceux qui n'auront pas voulu entendre nos réclamations et préférer vivre égoistement dans la richesse, confinés, ignorant la pauvreté entourante et faisant croire que la nature l'a voulu !

demandons une hausse CORRECTE des salaires, pour que nous ayons la possiblité de vivre dessament, et d'offrir à nos enfant le choix de leur vie et non les condamner dès la naissance à la pauvreté, puisque l'ascenceur social est désormais bloqué au sous sol....

seul cette hausse pourra régler nos problème, puisque nous avons déjà réussi à abaisser la durée du temps de travail à 35H par semaine en 1986.

la hausse de nos salaires entrenera un meilleur lieu de vie pour nos enfants qui benéficierons alors d'une éducation digne de ce nom dans un environnement encourageant. cette hausse augmentera aussi notre pouvoir d'achat et nous consommerons d'autant plus, relançant l'économie et la croissance. les 35H nous offrez du temps au loisirs, la hausse des salaires nous le permettra. nous contribuerons encore une fois à la relance de l'économie !

nous ne réclamons pas encore un salaire commun qui pourrait encourager les jeunes à ne plus choisir un metier pour les revenus, et permettrai à la personne de vivre ses pations sans contrainte. mais cet idéla sera bientot atteint!


CAMARADES, REJOIGNEZ LA 4° INTERNATIONALE, ET ENSEMBLE, LUTTONS POUR UN MONDE PLUS JUSTE !!

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Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la faim.

Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout, debout
Le monde va changer de base,
Nous ne sommes rien, soyons tout.


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.


Il n'est pas de sauveurs suprêmes
Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun.
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l'esprit du cachot,
Soufflons nous-même notre force,
Battons du fer tant qu'il est chaud.


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.


L'Etat comprime et la Loi triche,
L'impôt saigne le malheureux ;
Nul devoir ne s'impose au riche ;
Le droit du pauvre est un mot creux
C'est assez languir en tutelle,
L'Egalité veut d'autres lois
Pas de droits sans devoirs, dit-elle
Egaux pas de devoirs sans droits


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.


Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la banque
Ce qu'il a crée s'est fondu,
En décrétant qu'on le lui rende,
Le peuple ne veut que son dû.


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.


Les rois nous saoûlaient de fumée,
Paix entre nous, guerre aux Tyrans
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l'air et rompons les rangs !
S'ils s'obstinent ces cannibales
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.


Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs,
La terre n'appartient qu'aux hommes,
L'oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours.


C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationnale
Sera le genre humain.